Leslie Ar50 : Les Confessions DUn Ami, Suite Et Fin.
Leslie AR50 - Les confessions dun ami, suite et fin
« Jétais au paradis, avec Carole nous faisions lamour, toute nue dans mes bras, ma
langue dans sa bouche, ma bite au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus
fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, sarquait,
soffrait à mon membre viril.
Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de sa chatte, Carole avait fermé les
yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me
marmonnait entre ses dents quelle aimait ça, que je la rendais heureuse.
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre
Vas-y
baises-moi profondément
Elle soufflait, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle.
Au début, je pensais que Carole simulait son plaisir, mais à voir son regard dilaté,
son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que Carole
jouissait, sa bouche fraiche lors des baisers me lont confirmés.
Sa jouissance était bien réelle, et elle moffrait son corps sans pudeur, sans
retenue, comme si elle navait pas fait lamour depuis de semaines. Je la baisais de
plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon membre et sa chatte
dégoulinait dun jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant dinonder
les draps du lit.
Subitement je sentis le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma
compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de
son vagin accueillant. Un flot de jouissance se répandit dans Carole, cette jouissance
aussi violente que soudaine me procura des douleurs dans le dos et larrière des
jambes, jétais secoué de la tête aux pieds.
Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se
mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions, Carole avait un orgasme.
Nous sommes restés allongé lun sur lautre, lun dans lautre, sans rien dire pendant
plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement.
- Ohhh oui, répliquais-je, je suis comblé
Carole se mit à rire en disant :
- Tu es sûr que cest ta première expérience ?
- Oui, pourquoi cette question ?
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
Mattirant à elle, Carole membrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à
nous embrasser et nous caresser mutuellement.
Au bout dun moment, mayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se
pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue
effleurer mon gland, je frémis en gémissant, et Carole se mit à me sucer le sexe avec
ardeur. Si bien quen un rien de temps, sous la fellation savante et terriblement
voluptueuse de Carole, je me remis à bander.
Profitant que ma sensuelle initiatrice était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me
sucer dune bouche experte, je neus quà tendre le bras pour pouvoir lui caresser les
fesses, glisser mes doigts dans sa raie culière et trouver son minuscule orifice brun
qui sy cachait.
Dun doigt, je mattaquais à son anus, qui réagit aussitôt aux caresses de mon doigt
en sentrouvrant légèrement comme pour minviter à plonger mon doigt dedans.
Quelques minutes se passèrent ainsi, sans que jose introduire mon doigt dans les
chairs les plus intimes de Carole, mais en nous procurant un indicible plaisir.
Soudain Carole abandonna ma verge frémissante pour me demander :
- Tu aimes que je te suce la bite ?
- Jadore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre dautre.
- Moi aussi, jaime que tu me doigte le cul ! Ronronna-t-elle
Cest rudement
bon !
Un moment passa, avant quelle reprenne la parole :
- Je suis étonné, tu nas même pas essayé dy enfoncer ton doigt !
- Je nai pas osé.
- Alors tu aimerais peut-être y enfoncer ta queue ?
Je restais sans voix. Carole me demandait si je désirais lenculer, devant mon
silence, Carole continua :
- Tu sais, jamais un homme ne ma pénétré par-là, je toffre mon pucelage anal.
Ça te fait plaisir ?
- Ohhh oui, dis-je.
- Attends-moi !
Je là vis se diriger vers la salle de bain et en revenir tenant un tube à la main.
Sinstallant de nouveau à mes côtés elle me précisa :
- Cest du gel intime, ça aidera, car pour moi aussi ce sera la première fois,
il vaut mieux être prudent et prendre quelques précautions.
Elle ouvrit le tube pour senduire la main dune crème translucide en disant :
- Avec ce gel, ça glissera plus facilement.
Puis de sa main enduite elle me massa la verge, en fait Carole me branla pour redonner
de la raideur à mon membre et enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, et
raide, Carole me tendit le tube et se coucha sur le ventre, lança ses mains dans son
dos pour écarter largement ses fesses en disant :
- À toi, enduit mon cul et mon petit trou !
La plus belle journée de ma vie, si je le racontais personne me croirait, Carole, la
mère de mon meilleur ami, moffrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul
tout lisse elle me demandait de lui lubrifier le fion avant la sodomiser.
Je mexécutais en enduisant bien le cul et tout autour de la collerette fripée de
Carole et consciencieusement lintérieur du conduit anal de Carole. A laide de mon
majeur, avec un certain plaisir, mon doigt glissa senfonçant lentement dans le
conduit.
- Ohhh, cest bon, dit Carole, en cambrant ses reins au maximum.
Puis jactivais mon doigt dans lorifice anal, explorant lanus de Carole, étonnamment
serré, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
- Ohhh oui, cest bon, gémit Carole, branle-moi bien le cul.
Étonné quelle puisse ressentir du plaisir par le cul, jenfonçais mon index accolé à
mon majeur dans le cul Carole, copieusement lubrifié de gel.
- Ohhh oui, cest encore meilleur, grogna aussitôt Carole, viens et prends-moi
maintenant !
Dun coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et en passant une
de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite quelle dirigea entre ses
fesses. Le bout arrondi de mon gland sappuya sur son illet rose, qui me sembla
extrêmement petit.
- Là, tu y es, me prévint Carole dune voix sourde, va doucement, tu es si gros
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal.
Agrippant fermement les hanches de Carole, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce
cul offert. Mais son orifice anal résista à ma poussée, faisant ployer ma verge
pourtant rigide. Carole poussa un petit gémissement, je la voyais agrippée des deux
loreiller
- Oh comme cest gros ! Gémit-elle.
Jexerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Carole vers moi et celle-ci poussa
un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri, je me retrouvais fiché
jusquaux couilles dans le cul de Carole qui venait de sécartelé brusquement.
- Oui, ça y est, grogna Carole. Ne bouge plus, cest terrible, tu mas défoncé
le cul, je ten prie ne bouge pas, pas tout de suite.
Son anus était tellement serré me comprimait la verge et je sentais ma bite gonflée à
lintérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémissait et poussait des râles
de douleurs.
Je demeurais immobile, ivre de joie, jenculais une femme, rêve de jeunesse enfin
exhaussé.
- Vas-y, me demanda enfin Carole, doucement, sinon tu vas me déchirer le cul.
Je commençais alors à magiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant
convoitées. Carole avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris
en poussant des petits gémissements
- Oh oui ! Mon chéri, encules-moi bien à fond
La maintenant par les hanches, javais une vue incroyable sur son trou du cul dilaté
par ma bite, qui entrait et sortait.
Les gémissements plaintifs de ma compagne mencourageaient à continuer. Jaccélérais
peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus
vite et de plus en plus profondément. Carole poussait de tels cris, que je me
demandais si elle éprouvait du plaisir ou de la douleur.
Mais dun seul coup je senti mon sperme monter dans ma verge et sans que je puisse me
retenir je lâchais mon sperme par saccades dans les intestins de Carole.
Puis Carole se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme
une feuille. Se redressant, Carole moffrit de tendres baisers et je me suis séparé
delle lui laissant le trou largement ouvert.
- Tu sais, cest la première fois que je me fais enculer, jai eu un peu mal au
début, mais ensuite jai jouis comme une folle, je naurais jamais songé que lon
puisse éprouver autant de plaisir de ce côté-là.
Nous sommes retournés au salon et Carole, après un nouveau café, me demanda :
- Tu peux rester tout le week-end, si tu le veux ?
- Il faut que je prévienne ma mère et je nai rien amené.
- Alors vas chez toi et reviens vite, jai encore envie
Une demi-heure plus tard jétais de retour, avec laccord de ma mère qui pensait que
cétait un week-end comme les autres et du rechange pour tenir deux jours.
Carole mattendais nue et nous avons refait lamour, dailleurs jusquà la fin de la
journée, je lai baisé et enculé plusieurs fois.
Le soir nous nous sommes couchés ensemble, ma première nuit avec une femme, avant de
nous endormir elle ma sucé avant que je la sodomise.
Le samedi et le dimanche, nous sommes restés nus dans la maison afin de profiter de
nos caresses mutuelles et de pouvoir se donner du plaisir à tout moment.
Carole à hurler de plaisir durant ces deux jours et je lai même enculé pendant
quelle était au téléphone avec son mari, et elle a vraiment aimé ce moment.
Elle ne cessait de me dire :
- Ton sexe je ladore, il me fait grimper aux rideaux.
Le dimanche à quatre heures je suis parti, un peu triste, mais javais une amante.
Notre relation à durée jusquau bac, puis Carole à déménagée et je ne lai plus jamais
revue.
Encore aujourdhui, je pense à elle, et à ces moments-là, la nostalgie me gagne. »
A suivre
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